Peut-être l’avez-vous entendu résonner au moment le plus solennel d’un mariage cet été, à moins que ce soit son tempo qui sur une piste de danse vous a envoûté, peu de chance en tout cas que vous soyez passé à côté de Jerusalema. De prêtres en Italie, à de jeunes fiancés au Zimbabwe, jusqu’à des médecins français, le morceau a fait le tour du monde.
Devenu ce mois-ci la chanson la plus “shazamée” [recherchée sur l’application Shazam qui permet de retrouver l’auteur et le nom d’un titre diffusé autour de soi], écoutée plus de 66 millions de fois sur la plateforme Spotify, vue 140 millions de fois sur YouTube… nul n’avait à l’origine parié sur un tel succès, et pas même ses auteurs. Quartz raconte comment ce morceau de gospel sud-africain est devenu un tube planétaire.
Sortir des églises et des synagogues
Il y a d’abord “ces chœurs obsédants qui évoquent la cité sacrée [de Jérusalem]” et “les paroles religieuses chantées en zoulou [une des langues sud-africaines]”,
- Accédez à tous les contenus abonnés
- Soutenez une rédaction indépendante
- Recevez le Réveil Courrier chaque matin
Musique. “No Pata Pata” : Angélique Kidjo reprend le tube pour lutter contre le Covid-19
Musique. La superstar congolaise Fally Ipupa va-t-elle pouvoir monter sur scène à Paris ?
Culture. Comment les rappeurs français et britanniques s’inspirent des musiques africaines
Musique. Comment le hip-hop s’est emparé d’Instagram