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#6 - Emmanuelle Béart : "J'aime autant regarder les tomates et les fourmis travailler que tourner"    #6 - Emmanuelle Béart : "J'aime autant regarder les tomates et les fourmis travailler que tourner"   

#6 - Emmanuelle Béart : "J'aime autant regarder les tomates et les fourmis travailler que tourner"

Jérôme Vermelin

Emmanuelle Béart fait son grand retour au cinéma avec l’un des plus beaux rôles de sa carrière. Dans L’Étreinte, le premier long-métrage de Ludovic Bergery, elle incarne Margaux, une jeune veuve qui après la mort de son mari, reprend des études de lettres. Sur les bancs de la fac, elle fait la rencontre d’Aurélien et son groupe d’amis, qui l’encouragent à reprendre en main sa vie sentimentale.


Couronnée aux César pour sa performance dans Manon des sources en 1986, Emmanuelle Béart a longtemps incarné une icône glamour sinon sulfureuse qui a inspiré les plus grands cinéastes français, de Jacques Rivette à André Téchiné en passant par Claude Chabrol, sans parler de sa brève parenthèse hollywoodienne aux côtés de Tom Cruise dans Mission : Impossible.


Ces dernières années, c’est sur les planches qu’elle a donné une nouvelle dimension à sa carrière, notamment sous la direction de Stanislas Nordey. Et qu’elle a trouvé la force et l’inspiration d’incarner ce nouveau personnage qui lui va bien, comme elle me l’a confié dans cet entretien, réalisé quelques jours avant la réouverture des cinémas.



 

Emmanuelle Béart fait son grand retour au cinéma avec l’un des plus beaux rôles de sa carrière. Dans L’Étreinte, le premier long-métrage de Ludovic Bergery, elle incarne Margaux, une jeune veuve qui après la mort de son mari, reprend des études de lettres. Sur les bancs de la fac, elle fait la rencontre d’Aurélien et son groupe d’amis, qui l’encouragent à reprendre en main sa vie sentimentale.


Couronnée aux César pour sa performance dans Manon des sources en 1986, Emmanuelle Béart a longtemps incarné une icône glamour sinon sulfureuse qui a inspiré les plus grands cinéastes français, de Jacques Rivette à André Téchiné en passant par Claude Chabrol, sans parler de sa brève parenthèse hollywoodienne aux côtés de Tom Cruise dans Mission : Impossible.


Ces dernières années, c’est sur les planches qu’elle a donné une nouvelle dimension à sa carrière, notamment sous la direction de Stanislas Nordey. Et qu’elle a trouvé la force et l’inspiration d’incarner ce nouveau personnage qui lui va bien, comme elle me l’a confié dans cet entretien, réalisé quelques jours avant la réouverture des cinémas.

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