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La rumeur montait depuis quelques jours. Alors, dans les conversations, revenait une question. Tu vas aller où ? Tu vas te mettre au vert ? Tu as un point de chute ? Avec le télétravail, cette mobilité extrême dans l'immobilité, la chose est envisageable. Certes, pour ceux qui le peuvent, qui ont un contact, qui n'ont pas de contraintes les obligeant à rester. Un vent d'exode a soufflé et souffle sur Paris et les métropoles. On veut s'échapper de la ville avant qu'il ne soit trop tard. Puisque les temps qui s'annoncent sont nouveaux, pourquoi ne pas tenter l'expérience ? La campagne a soudain bien des attraits.
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Justement, une exposition, au musée de la Libération, vient d'ouvrir sur les Parisiens dans l'exode e...
Évoquer de "mauvais souvenirs" pour s'abstenir d'imposer l'ordre aussi strictement dans les banlieues difficiles qu'ailleurs notamment... Les fausses bonnes excuses, ou les "grosses ficelles ", n'arrangeront rien, bien au contraire, ...
Et tout ça, grâce aux conneries d'un Clémenceau, persuadé d'avoir imposé la paix en 19 alors qu'il n'a fait que préparer la revanche du vaincu, hautement prévisible.
Et puis, les cong" pay" et la semaine de 40 heures quand le vaincu d'en face se réarme, c'est ça le "génie" français...
Et rien n'est changé, surtout pas la gôche...
Non, rien à voir.
Hier, 1940, les parisiens (friqués) fuyaient les risques de l'envahisseur - puis revinrent et certains collaborèrent.
Aujourd'hui, les parisiens (friqués) partent vers les provinces chargés du virus, avec lequel ils collaborent, apportant leurs victuailles et leur maladies. C'est cela l'aménagement du territoire version 2020 !
L'histoire comparative est toujours intéressante.