La signalétique à l'épreuve d'une équation sous plusieurs angles

Objectif d’ici début janvier : atteindre les 10 000 signataires

Bonjour à toutes et tous,

Avant tout, vous êtes formidable !
Hier, le 29 décembre, 72 heures après le lancement de la pétition nous avons franchi le cap des 5 000 signataires en fin d’après-midi. Bravo et merci à toutes celles et tous ceux qui s'engagent les uns avec les autres.

Ce jeudi 30 décembre, à 12h, nous sommes pas loin des 6 000 signatures. BRAVO, on continue – https://chng.it/GqvJDh4D

L'importance du groupe à partage la pétition, l'expliquer et la faire signer :

Plus nous serons nombreuses et nombreux et plus nos voix auront du sens à défendre ce qui nous réunit : nous voulons retrouver « Strasbourg » sur la signalétique de l’A4 et l’A35 en direction de la capitale alsacienne via la M35. Pour rappel, le GCO a été vendu pour contourner Strasbourg, pas pour s’y rendre et devoir payer alors qu’il existe une direction gratuite.

A ceux qui vous opposeraient de soutenir le retour des bouchons le matin et le soir sur la M35, dites-leur que l’A355 de contournement ouest n’a pas pour vocation de désengorger Strasbourg, tel il a été écrit dans les conclusions de l’enquête publique sur la Demande d’utilité publique (DUP) en 2006. Confirmé par l’ancien préfet Jean-Luc Marx lors d’une émission Dimanche en politique en octobre 2018, précisant que l’objectif du contournement était de faciliter le transit international entre l’Europe du Nord et l’Europe du Sud (1)

Ainsi, il faut regarder l'équation sous plusieurs angles :

1. le GCO a été vendu pour contourner Strasbourg et non pour s'y rendre, c'est donc le but de la pétition en remettant Strasbourg sur la signalétique de l'A4/A35 ;
2. que le trafic de transit passe par le GCO, c'est sa vocation, à l'exception de laisser le choix aux automobilistes de prendre l'axe payant ou non (ce qui n'est pas le cas aujourd'hui) ;
3. la problématique de réguler les flux routiers : ce n’est pas l’objectif du contournement. Pour réduire les bouchons, il faut traiter le mal à la racine, c'est-à-dire : s'attaquer à réduire le trafic routier. Or, sur ce point, nos dirigeants politiques à la Région comme au Département ont lourdement échoué à y répondre, arque boutés à rendre le GCO nécessaire. Aujourd’hui, il existe des solutions. Elles nécessitent de lourd investissement, mais ont un mérite de retirer du trafic routier, 40 % du trafic camions en amont de l’Eurométropole (2).  

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(1) https://youtu.be/03Si8Nx_o7Q

(2)a • transférer de la route au rail par du ferroutage, les camions en transit qui traverser notre région, soit environ 2 000 poids lourds (PL) – une pétition existe : https://chng.it/mgWTBQj7F5

(2)b • à cela, s’ajoute le projet de navette ferroviaire entre le nord de l’Eurométropole et le port autonome de Strasbourg. Dans ce cas, c’est environ 4 000 camions qui peuvent être retirés du trafic routier

– le hic ici, c'est que ces deux solutions de bon sens et de santé publique, viennent contrecarrer les plans de Vinci qui a besoin des camions pour rentabiliser son autoroute. L'entreprise, n'a que faire de l'intérêt général.